« … Chez Gardes, la mise en forme d’un tableau en figure l’histoire et par conséquent le brouillon. Ce qu’il donne à voir, c’est le regard même du peintre plus le recul du regard par rapport à son objet. D’où le côté déplacé de ces images sans concession qui vont jusqu’à mettre à nu leur propre structure pour en dénoncer l’illusion… »